Des commencements qui n’ont jamais de fin

La flèche de l’Éros céleste

Ainsi, dans l’éternité du siècle sans fin, celui qui court vers Toi devient toujours plus grand et plus haut que lui-même: celui qui monte ne s’arrête jamais d’aller de commencement en commencement par des commencements qui n’ont jamais de fin.

Grégoire de Nysse

L’analogie entre la conception sartrienne de la liberté et la pensée de Grégoire est judicieusement soulignée par Alain Durel.

D’ailleurs la liberté peut-elle ne pas être infinie? Un beau sujet de Baccalauréat …